Voilà qui clôture ces articles sur cette chaîne qui parlent de 10 JdR qui m'ont marqués. La première partie est là, la seconde ici, et voilà sous vos yeux la troisième !
Le Trône de Fer
Le Trône de Fer est un excellent jeu qui a pour principal défaut de se passer dans l’univers du Trône de Fer. J’ai essayé de proposer une campagne en virtuel sur ce jeu, mais c’est vite tombé à plat, je n’arrivais pas à mettre en place des intrigues intéressantes et c’était en partie dû au contexte. Ce que j’avais réussi à faire avec les Royaumes Renégats de Warhammer, je n’arrivais pas à le proposer alors que le jeu dans son système est conçu pour ça ! Oui mais voilà, je ne connais pas assez bien le lore, ne connaissant que le show télévisé, et j’avais l’impression que, pour proposer des enjeux intéressants, il fallait forcément jouer avec les grosses Maisons. Mais comment jouer avec elles sans les dénaturer ? C’est compliqué. Je sais que c’est assez con mais je bloque sur ce contexte. Peut-être qu’une fois le show arrivé à son terme, j’arriverai à refaire jouer dans le Trône de Fer en mode « 20 ans plus tard ».
Praetoria Prima
Je n’y ai pas joué tant que ça mais le peu m’a beaucoup plu ! C’est un excellent jeu qui sait rendre très intéressante une période historique finalement peu exploitée et surtout sans y ajouter de fantastique. En plus, quand c’est maîtrisé par un prof d’histoire qui connaît un peu le sujet, c’est encore mieux ! Engagez-vous qu’il disait !
Icons
Si jusque là je n’avais partagé que des jeux avec lesquels j’avais eu une expérience positive, ce ne sera pas le cas avec Icons. Sans être un fan hardcore des comics, j’aime bien les univers de super héros qui ont bercé une partie de mon enfance surtout en série animée (Batman et X-Men en tête), et plus récemment au cinéma. J’ai découvert Icons par hasard sur le net alors que je cherchais un jeu pas trop lourd capable d’émuler un univers de ce type. J’avais lu de bons retours et le système m’avait l’air simple, alors je lui ai donné sa chance. Quelle déception. Le système ne permet absolument pas la mise en scène cohérente de la puissance de ces super héros ni la création de personnages profonds. Au mieux on se retrouve avec un pastiche du genre : les héros ne peuvent jamais mourir, les enjeux sont quasi inexistants, les pouvoirs sont soit complètement pétés et dépendent quasi uniquement de l’imagination débridée (ou pas) des joueurs avec très peu de limites soit ils sont complètement inutiles. En fait, j’ai l’impression que si on supprimait le système on arriverait au même résultat. Bref, c’est beaucoup trop léger et ça ne correspond absolument pas à mon style de jeu. Dommage.
L’appel de Cthulhu
Je le met en dernier celui-là parce qu’en fait, je n’ai joué pour la première fois à ce jeu qu’il y a à peine plus d’un mois. Et oui, après presque 15 ans de jeu de rôle c’était la première fois que je jouais au JdR le plus vendu de son temps ! Je ne suis pas particulièrement attiré par l’œuvre de Lovecraft et je déteste absolument tous les jeux de plateau inspiré par le Grand Ancien (oui c’est à toi que je pense « Horreur à Arkham »!). Même si ma partie de Cthulhu s’est bien passé et m’a même plu, j’avoue avoir du mal à comprendre l’engouement autour de cet univers. C’est quand même un peu surfait non ? *Haters gonna hate* ;)
Voilà ainsi s'achève cette petite trilogie d'articles. Mais ne partez pas trop loin, avant la fin du mois qui arrive très vite, j'aurai une (petite) annonce à faire (#teasingdelamort) !
Bigyo'
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